Le eldar's répertoire

Voilà, je me dirige au centre et commence tremblotant (non c'est la fièvre) à chanter ma première petite chanson :


Le chant du pestiféré
Musique original de Jacques Brel « le plat pays »
Texte : eldar
Musique et interprétation : eldar & les Ubertroll


Avec la langue pâteuse, et l’œil révulsé
Et des larmes de pus, qui lui courent sur le nez
Et moult hoquet, qui lui donne l’air caillé
Et qui n’ont pas l’air de vouloir se calmer
Avec infiniment de pustules à venir
Avec sa scrofuleuse regardez le vomir
Le pestiféré qui est au loin

Avec ses litanies et ses pleurs de marmots
Et ses grosses halu’ comme des el-dorado
Et sa fièvre aphteuse quand il devient barjo
Et sa bouche moisie inondée de glaviots
Qu’ils fait courir entre ses misérables chicos
Avec sa scrofuleuse, regardez le s’agiter
Le pestiféré qui est au loin

Avec le moral si bas qu’il ne se bat même plus
Avec ces courses au tonnal qu’il n’en peut même plus
Et ces dents tombées qui le laisse berchu
Et sans amis seul dans les grandes rues
Il rêve de pouvoir fracasser le premier venu
Avec sa scrofuleuse, voyez le trembler
Le pestiféré qui est au loin

Avec ces chutes de merde, qui souillent son falzar
Et son cuir rêche et blême, comme lampion dans le noir
Et des bubons tout vert qui éclosent de toute part
Lui laissant à jamais, des cicatrices bizarres
Et un bain dans de la flotte, pour unique espoir
Avec sa scrofuleuse regardez le décéder
Le pestiféré qui est au loin

t'es vraiment un barde qui barde de toute façon y'a que barde qui barde...

J'applaudi tes niaiseries, un peu de musique, ça adouci tellement les nerfs (le miens en tous cas) que je cause comme y faut, comme quand je suis dans le fumoir !!
Euh, t'as pas trouvé plus simple à chanter, parceque là, même en conaissant l'air c'est tendu...
je prend la batterie avec des vieux fûts de Calvok pourris et des peau de kobold tendues, ça ça sonne !

VU LE SUCCES :| en voilà une autre :

Sur l’air de : « Le petit âne gris »


Les petits ATK pris

Ecoutez cette histoire que l’on m’a raconté
Au fond de ce trou noir, c’est là que ça c’est passé
En dessous de la surface, une bande de têtes de cons
Mais qui passait par là ? bilou notre compagnon (bis)

C’était une guilde vilaine avec de beaux blaireaux
Qu’ bilou matait sans peine comme de vulgaires agneaux
Tapant sur des petites bêtes comme de simples chasseurs
Pour gagner des PX ils mettaient tous leur coeur (bis)

Mais bilou s’en balance et ces ATK heureux
Périront par la lance par le glaive et le feu
Et Thornique le couilloux hardiment est venu
Sous la hache de bilou c’est le premier qui mourut (bis)

Restaient dans les parages encore quelque bon à rien
Attention mon petit Baal, du Néan’ arrive ta fin
C’est sur SaFaithMal, de se faire corriger
Et bilou bien lancé, le frère il a crevé (bis)

Ces ATK peu fiables se retrouvent éparpillés
Une denrée périssable, cette guilde de justiciers
Pauvres bêtes de trolls, qui voulaient faire les dieux
Mais face à de vrais trolls, ils sont morts comme des gueux (bis)

Ce que disait Nomak, des conneries encore
C’était qu’ »un bon TK était un TK mort »
La devise d’ »angel of death » devrait être plutôt
« Quand on croise un TK allongeons nous sur le dos »

Sur l’air de : « Le petit âne gris »
Parole : eldar
Interprété : eldar et les Übertroll
Musique originale : Hugues AUFRAY
Paroles originales : H. AUFFRAY, V. BUGGY

pas mal, mieux, plus facile à bra brailler !! y vont être con euh content les angel ma machin là !

TCHATTE ou La voix des Übertroll résonne

Sur l’air de « Armstrong »
Paroles et musique originale : Claude Nougaro
Parole : eldar
Interprétation : eldar et les Übertroll

Bilou avec l’aide d’Eldar
Vont lui faire la peau
Chercher pas y’a pas d’espoir
Quel manque de pot
Oui, t'a beau voir, les coups, de marteau
Rien, rien, rien ne craque comme tes os
Phalanges… morceaux
Vont lui faire la peau !

Eldar est un kastar
Il y va aux dents
Bilou le berseker braillard
Lui y rentre dedans
TCHATTE, oui toi, petit
Je plante, plante, plante mes petits crocs
Et c’est moi
Qui te ferais la peau

Übertroll toute une histoire
De sauvages marrants
Qu’on l’écrive blanc sur noir
Ou bien noir sur blanc
On voit surtout du rouge, du rouge
Sans, sans, sans trêve ni repos
Ce qu’ils aiment eux
C’est vous faire la peau

Pauv’ troll un jour tôt ou tard
On brisera tes os
Est-ce ‘tu brailleras comme un moutard ?
Ce serait rigolo
Sur ta carcasse, on pissera
Et on fera des trucs pas beaux
Chair et sang
Sont très souvent
Bien meilleurs que l’eau

un poème cette fois :

CHANT D’EFFROI

Nous plongerons le Hall dans de froides ténèbres
Adieu tranquillité, entravons son parcours
J’entends déjà tomber avec des chocs funèbres
Les coups retentissants sur leurs débiles atours

Übertroll va rentrer dans leur être, colère
Haine, frissons, horreur, erreurs dures et forcées
Et, aussi vrai que le fer occis les chairs
Leurs carcasses ne seront plus que viande faisandée

J’attend en frémissant que bien des têtes tombent
Et les râles d’agonies n’ont pas d’écho plus sourd
Leur idées sont pareilles à la tour qui succombe
Sous les coups du bélier infatigable et lourd

Il me semble que cette sarabande monotone
Des corps disloqués, et clapotis d’humeurs noires
Hier tranquillité les Übertroll entonnent
Un chant qui sonne comme l’avènement des trolls peinards

Oh mais ça arrête plus là...

bien, j'aime bien de toute façon tu sais j'aime bien l'original aussi. aller on va faire un site je crois avec une page rien que pour toi tient ! c'est dit, est-ce que se seras fait euh....

La mauvaise réputation

Parole & Musique originale: G. Brassens
Parole : eldar
Interprétation : eldar et les Ubertrolls




Dans ce hall sans prétention
J’ai mauvaise réputation
Qu’je me déchaîne ou que je reste là
Je passe pour un troll fada
Je dispend pourtant la mort qui résonne
Et en tachant bien d’oublier personne

Mais le pauvres troll n’aiment pas que
On les renvoi sous d’autres cieux
Non les ces pauvres troll n’aiment pas que
On les renvoi sous d’autres cieux

Tout les monde médits de moi
Je leur bouffe la langue, ça va de soi




Le grand jour de la Pâquerette
Quand je ne peux pas casser des têtes
Faut pourtant que je reste courtois
Mais je balance moult crachats
Je dit pourtant tout haut ce que d’autre marmonnent
Complètement caillé imbibé de rhum

Mais le pauvres troll n’aiment pas que
On leur renvoi qu’ils sont des geux
Non les ces pauvres troll n’aiment pas que
On leur renvoi qu’ils sont des geux

Tout les monde me montre au doigt
Je leur bouffe la main, ça va de soi




Quand je croise un petit troll malchanceux
Suivi par un Abish furieux
Là je croque et pourquoi le troll
Le trollinet lui dégringole
Je ne fais pourtant de tort à personne
En abrégeant les souffrances de celui que j’assome

Mais les gros monstres n’aiment pas que
On leur pique leur bouffe sous les yeux
Mais les gros monstres n’aiment pas que
On leur pique leur bouffe sous les yeux

Même le démon se rue sur moi
Mais je me débat cela va de soi




Pas besoin d’être Jérémie
Pour dviner l’sort qui m’est promis
Mais quand je trouve une gorge à mon goût
Il faut de que je me pende au cou
Je ne fais pourtant de tort à personne
En démolissant ce que les dieux façonnent

Mais les pauvres troll n’aiment pas que
Leur pauvres chairs deviennent bleues
Mais les pauvres troll n’aiment pas que
Leur pauvres chairs deviennent bleues

Tout le monde viendra me voir pendu
Les gros sadiques, bien entendu